M’échapper au fil des mots, suivant les méandres de ma pensées, me perdre pour me retrouver…
Escaping the world, from thoughts to words, getting lost, to find myself again…
Oui, bien sûr, où avais-je la tête, je dois vous présenter Lætitia.
Il y a quelques semaines maintenant, j’ai renommé cet espace où je vous écris le webavard de Lætitia A. Et je l’ai même rendu accessible sous l’URL https://laetitia.delvaux.net c’est bien ici que vous vous trouvez.
J’y ai peu écrit ces derniers temps, mais j’ai bien voulu le garder en ligne. C’est espace est important pour moi. Vous le savez ou vous comprendrez sans doute pourquoi. Elle, Lætitia, elle le sait, le pourquoi.
Lætitia fait partie de mes souvenirs d’enfance, un peu flous, un peu mélangés, mais pourtant bien réels. Des souvenirs remplis de douceur, de petites fleurs et d’émotions mais surtout d’interdits non dits, d’espace et de mots manquants, de standardisation étouffante, de répression interne pour survivre dans un monde qui ne l’aurait pas comprise.
Lætitia aime écouter la musique et les chansons, lire, danser, voyager. Elle aime le soleil, la nature, la forêt, les espaces où elle peut être seule et elle-même durant de longs moments. Elle aime les arcs-en-ciel. Lætitia c’est mon alter ego [1] qui prend de plus en plus vie, jour après jour.
C’est la Lætitia de Jean-Jacques Goldman, qui console, réconforte et donne espoir et chaleur là où il n’y a qu’abus, routine et grisaille. C’est la Elaeudanla téitéia de Serge Gainsbourg, troublante, espiègle et enjouée. Certain.e.s m’ont connu comme Titi, il ne manquait qu’un A, tiens donc, pour faire Titia .
Vous l’aurez compris, vous m’aurez comprise, Lætitia, c’est moi. 💜💛
[1] Mon autre moi, ma personne de confiance.